le sauveur YAHUSHUA

le sauveur  YAHUSHUA

NOUVEL AN ET FÊTE PAÏENNE

Pourquoi les chrétiens ne célèbrent pas LE NOUVEL AN?

PAR DAVID C. PACK

Qu’y a-t-il de mal à célébrer le Nouvel An? Qu’y a-t-il de mal à remplacer le «vieux par le neuf»? Après tout, les chrétiens ne doivent-ils pas «marcher en nouveauté de vie» (Rom 6:4), et n’est-ce pas ce que célèbre le Nouvel An? Lapure vérité peut vous surprendre.

Minuit, premier janvier. Philippe et Julie fêtent à tout rompre sur le plancher de danse rempli d’hommes en smoking et de femmes en robe longue.

Gaston, joyeux et «confortable» tricote dans la circulation alors qu’il est ivre au volant d’une arme potentiellement mortelle, inconscient du danger qu’il représente pour lui-même et pour les autres. Robert et Maria qui viennent à peine de faire connaissance échangent un baiser pendant qu’ils dansent à un rythme endiablé dans une boîte de nuit exotique. Michel sort de chez lui et pointant son pistolet vers le haut tire quelques balles. Marthe est assise sur un banc de la cathédrale et récite continuellement la même prière. Nathalie est à la maison assise devant la télé et envie la foule réunie à Times Square et souhaiterait pouvoir être présente, n’importe où, plutôt que d’être seule à la maison au Jour de l’An.

Par contre, il y en a quelques-uns à travers le monde qui ne sortiront pas pour célébrer le jour du Nouvel An. Ils ne fêteront pas sur la piste de danse, ne boiront pas pour ensuite s’installer derrière le volant, ils n’échangeront pas de baiser illicite avec des étrangers, ni ne tireront du pistolet dans les airs ou ne seront pas assis à côté d’un autre chrétien traditionnel récitant machinalement une prière. Pas plus qu’ils ne seront assis seuls à la maison souhaitant faire partie de la fête avec le reste du monde qui accueille le Nouvel An. Au lieu de cela, ils considéreront ce jour comme tout autre jour.

Pourquoi?

Parce que ce sont de véritables chrétiens, ceux qui retiennent fidèlement et exactement les mêmes vérités, traditions et enseignements que Christ a transmis à Ses apôtres qui à leur tour les ont transmis à l’Église du Nouveau Testament (Matth 28:18-20). Les vrais chrétiens ne célèbrent pas le Nouvel An. Ils ne se font pas prendre par l’attitude de «mangeons et buvons, car demain nous mourrons». Et ils ne désirent pas à tout prix imiter ceux qui adoptent cette attitude. Pourtant, la grande majorité des chrétiens traditionnels ne voient rien de mal à observer le Nouvel An. Ils ne voient pas «où est le problème». Et ils ne font même pas attention à cela.

Qu’en est-il de vous? Voulez-vous connaître la raison pour laquelle les vrais chrétiens, ceux dont le but est d’imiter la vie parfaite et sans péché de Jésus-Christ, choisissent de ne pas participer à toute cette agitation? Si oui, alors poursuivez votre lecture. Vous allez être surpris d’apprendre la pure vérité au sujet d’une chose que la majorité des dirigeants «chrétiens» refusent d’enseigner.

Une brève histoire du Jour de l’An.

«La mention la plus ancienne de la fête du Nouvel An date de 2000 av. J.-C. en Mésopotamie, où le Nouvel An (Akiu) commençait à la nouvelle lune la plus rapprochée de l’équinoxe du printemps (à la mi-mars en Babylonie) ou à celle la plus proche de l’équinoxe de l’automne (mi-septembre en Assyrie)» (Encyclopédie Britannique, 1998 – partout dans le texte, c’est nous qui traduisons). «Le Jour de l’An, le premier jour de l’année: Chez les peuples anciens, le commencement de l’année était déterminé par différents événements tels que les équinoxes du printemps ou de l’automne ou encore les solstices d’hiver et d’été. En Égypte par exemple, à partir de 2773 av. J.-C., le Nouvel An commençait au moment du lever héliaque de Sirius, ce qui coïncidait avec le débordement du Nil et se produisait peu de temps après le solstice d’été» (Encyclopedia Americana, 1999). Les anciens Égyptiens, Phéniciens et Perses commençaient leur Nouvel An lors de l’équinoxe d’automne (le 21 septembre), alors que les Grecs jusqu’au V siècle av. J.-C. célébraient leur Nouvel An lors du solstice d’hiver (le 21 décembre).

«Plusieurs peuples anciens… accomplissaient des rituels afin de se débarrasser du passé et de se purifier pour la nouvelle année. Par exemple, les gens éteignaient des feux qu’ils utilisaient pour en allumer de nouveaux» (World Book, 2001). Les Celtes célébraient leur Nouvel An le 1er novembre, jour qui marquait la fin de l’été et de la récolte ainsi que le commencement de l’hiver froid et sombre qui approchait (il s’agissait d’un précurseur de l’Halloween). Ils faisaient brûler des feux «sacrés» afin d’éloigner les mauvais esprits et honorer leur dieu soleil.

«Autrefois, les anciens Romains échangeaient des cadeaux du Nouvel An sous forme de branches d’arbres sacrés. Plus tard, ils donnèrent des noix recouvertes d’or ou des pièces de monnaie portant l’effigie de Janus qui avait deux visages, un qui regardait vers l’avant et l’autre vers l’arrière» (World Book, 2001).

«Selon le calendrier républicain romain, l’année commençait le 1er mars. Après 153 av. J.-C. la date fut le 1er janvier, ce qui fut confirmé par le calendrier julien (46 av. J.-C.)… Tôt au Moyen-Âge, la majorité de l’Europe chrétienne considérait le 25 mars (le jour de l’Annonciation) comme le commencement de l’année, bien que pour l’Angleterre anglo-saxonne, le jour de l’An fut le 25 décembre» (Encyclopédie Britanique, 1998).

Comme les dirigeants de l’Église catholique romaine croyaient erronément que le Christ était né le 25 décembre (pour en apprendre davantage, lisez notre brochure, La véritable origine de Noël), ils présumaient que sa mère, Marie, l’avait conçu le 25 mars, 9 mois plus tôt: «Le 25 mars est surnommé l’annonciation de la Sainte Vierge Marie… il célèbre le moment où l’archange Gabriel est apparu la jeune fille juive et lui a annoncé qu’elle deviendrait la mère de Jésus… Bien que l’Église ait commencé à commémorer très tôt cet événement, sa date n’a pu être déterminée avant que celle de Noël soit fixée, ce qui s’est fait tard au IV siècle. Les deux dates sont reliées, car elles doivent être séparées par neuf mois… Puis, après avoir fouillé dans le passé, les gens décidèrent qu’il s’agissait non seulement du jour où le ministère terrestre de Jésus avait commencé, mais que c’était le jour où tout avait commencé, le jour de la Création. À partir de là , il n’y avait qu’un pas presque inévitable pour considérer le 25 mars comme le début de l’année et, depuis le XII siècle jusqu’à la réforme du calendrier en 1752, le 25 mars fut le Premier de l'an» (Days and Customs of All Faiths, Howard V. Harper, 1957).

Comme vous pouvez le constater, l’histoire de la veille du jour de l’An et du jour de l’An parle d’elle-même et nous montre comment ils ont vu le jour dans l’esprit d’hommes adorateurs d’idoles et comment ils ont «évolué» au cours des siècles.

Considérons maintenant la façon de voir de Dieu sur le Nouvel An et sur toute autre fête qui tire son origine des pratiques, coutumes et traditions païennes. Vous allez être surpris par ce qu’Il dit.

Dieu hait toutes les coutumes et traditions païennes, incluant celle du Nouvel An.

Commençons par Jérémie 10:2-3: «N’imitez pas la voie des nations… car les coutumes des peuples ne sont que vanité». Il s’agit d’un commandement biblique. Partout dans Sa Parole, Dieu décrit les «nations» comme étant celles qui adorent la nature (le soleil, la lune, les étoiles, les arbres, etc.), les idoles faites de main d’homme et toutes choses autres que le vrai Dieu. Il surnomme ces nations et leurs coutumes,païennes. Les véritables chrétiens savent que Dieu hait toute coutume, pratique et tradition qui possèdent des racines païennes.

Jusqu’à quel point Dieu prend-Il le paganisme au sérieux? Lorsqu’Il sauva les douze tribus d’Israël d’Égypte et les délivra d’un esclavage brutal, Il leur ordonna ce qui suit: «vous ne ferez point ce qui se fait dans le pays d’Égypte où vous avez habité, et vous ne ferez point ce qui se fait dans le pays de Canaan où je vous mène: vous ne suivrez point leurs usages» (Lév 18:3). Dieu demanda aux Israélites de ne pas se souiller par les pratiques et les coutumes des nations avoisinantes (v. 24-29). Il commanda en plus, «vous observerez mes commandements, et vous ne pratiquerez aucun des usages abominables qui se pratiquaient avant vous, vous ne vous en souillerez pas. Je suis l’Éternel, votre Dieu.» (v. 30).

Dieu a maudit l’Égypte par dix plaies et délivré Israël de l’esclavage. Il ouvrit les eaux de la mer Rouge et les conduisit en sécurité. Il leur donna la manne tombée des cieux, les protégea des armées païennes aguerries, les amena dans la Terre Promise et expulsa leurs ennemis. Comment Israël a-t-il répondu à tout cela? «Nos pères en Égypte ne furent pas attentifs à tes miracles, ils ne se rappelèrent pas la multitude de tes grâces, ils furent rebelles près de la mer, près de la mer Rouge… Mais ils oublièrent bientôt ses oeuvres, ils n’attendirent pas l’exécution de ses desseins. Ils furent saisis de convoitise dans le désert, et ils tentèrent Dieu dans la solitude… Ils firent un veau en Horeb, ils se prosternèrent devant une image de fonte, ils échangèrent leur gloire contre la figure d’un boeuf qui mange l’herbe. Ils oublièrent Dieu, leur sauveur qui avait fait de grandes choses en Égypte, des miracles dans le pays de Cham, des prodiges sur la mer Rouge. Ils méprisèrent le pays des délices; ils ne crurent pas à la parole de l’Éternel, ils murmurèrent dans leurs tentes, ils n’obéirent point à sa voix. Ils s’attachèrent à Baal-Peor et mangèrent des victimes sacrifiées aux morts. Ils irritèrent l’Éternel par leurs actions» (Ps 106:7, 13-14, 19-22, 24-25, 28-29).

Dieu avait explicitement ordonné à Israël d’expulser et d’exterminer les nations qui occupaient la Terre Promise (Canaan); ils ne devaient surtout pas conclure d’alliances politiques avec elles ou conclure des mariages (Deut 7:1-3, 5, 16), «car ils détourneraient de moi tes fils, qui serviraient d’autres dieux» (v.4).

Toutefois, se croyant meilleurs que Dieu, les Israélites décidèrent de faire les choses à leur façon: «Ils ne détruisirent point les peuples que l’Éternel leur avait ordonné de détruire. Ils se mêlèrent avec les nations, et ils apprirent leurs oeuvres. Ils servirent leurs idoles, qui furent pour eux un piège; ils sacrifièrent leurs fils et leurs filles aux idoles, ils répandirent le sang innocent, le sang de leurs fils et de leurs filles, qu’ils sacrifièrent aux idoles de Canaan, et le pays fut profané par des meurtres. Ils se souillèrent par leurs oeuvres, ils se prostituèrent par leurs actions» (Ps 106 :34-39).

Afin de les réveiller et de les ramener sur la bonne voie pour qu’ils soient Sa nation modèle, Dieu livra Israël entre les mains de ses ennemis. Israël se repentit et Dieu les délivra. Puis Israël se rebella et suivit d’autres dieux. Dieu les punit à nouveau. Israël se repentit encore une fois. Et c’est ainsi que se déroula le cycle de délivrance, idolâtrie, punition, repentir (v.40-46), jusqu’à ce que finalement Dieu n’eût d’autre choix que de «divorcer» l’Israël infidèle (Jér 3: 6-11). Il utilisa les Assyriens pour les envahir et les conquérir brutalement. Ils mirent le royaume d’Israël en esclavage et le transplantèrent au loin (II R 17). Il «disparut» de l’histoire. Il oublia quelle était son identité (même aujourd’hui, les descendants modernes de ces dix tribus «perdues» ne savent pas qui ils sont). Plus tard, Dieu expédia le royaume du sud, celui de Juda, en exil à Babylone (II R 24 et 25).

Cela se produisit parce qu’ils convoitèrent les coutumes, les rituels, les traditions et les voies des païens. Comme vous pouvez le constater, l’unique vrai Dieu ne prend pas à la légère les pratiques païennes.

Dieu N’EST PAS l’auteur du désordre.

Les vrais chrétiens savent que «Dieu n’est pas un Dieu de désordre, mais de paix» (I Cor 14:33). Le mot grec original pour «désordre» ici signifie «instabilité, désordre, agitation, tumulte», mots qui décrivent parfaitement l’histoire chaotique du Nouvel An. Pendant des milliers d’années, l’homme s’est plu à changer le début de la nouvelle année du printemps vers l’automne, du 1er mars au 1er janvier (et dans certains cas au 25 décembre), puis au 25 mars et à nouveau au 1er janvier en plein milieu de l’hiver! «Le 1er janvier a été rétabli comme premier jour de l’année par le calendrier grégorien (1582) et adopté immédiatement par les pays catholiques. Les autres pays suivirent graduellement l’exemple: l’Écosse, 1660; l’Allemagne et le Danemark, environ 1700, l’Angleterre, 1752; la Suède, 1753; et la Russie, 1918» (Encyclopedia Britannica, 1998).

Même de nos jours, les hommes ne peuvent se mettre d’accord sur cette date: «La nouvelle année chinoise est célébrée officiellement pendant un mois et commence fin janvier début février» (Ibid.). «Le Nouvel An des musulmans tombe le premier jour du mois de muharran et commémore la date de l’Hégire (26 juillet, 622 apr. J.-C. dans le calendrier grégorien). Étant donné que l’année musulmane se base sur la lune et n’a que 354 jours, son premier jour varie énormément par rapport au calendrier occidental» (Encyclopedia Americana). Le Nouvel An vietnamien, le Tet, tombe entre le 21 janvier et le 19 février. «Le Nouvel An juif, un jour solennel appelé Rosh Ha-Shannah, est célébré pendant le mois de septembre ou tôt en octobre. Les Hindous de différentes parties de l’Inde le célèbrent à des dates variées» (World Book, 2001). Voilà ce qui arrive quand les gens veulent se fier à leur propre jugement plutôt que de faire confiance à Celui qui a conçu notre univers et tout ce qu’il contient.

Non seulement l’histoire du Nouvel An est-elle désordonnée et chaotique, mais il en est de même de la fête. Pour une raison quelconque, les gens semblent laisser tomber toute inhibition — et parfois tout amour propre — pour adopter un comportement tout à fait extravagant en ce Jour de l’An. Ils boivent trop, rencontrent des gens qu’ils connaissent à peine pour une relation qui aura des répercussions de toute une vie, tirent du pistolet dans les airs pour «accueillir la nouvelle année». Plusieurs laissent tomber leur «bon sens» afin d’avoir du «bon temps» avant que la nuit finisse. Dans la plupart des cas, la seule chose que les gens regrettent, c’est leur mal de «bloc» le lendemain matin. Habituellement, toutefois, ce n’est que le moindre de leurs problèmes.

Selon MADD (Mothers against drunk driving – les mères contre la conduite en état d’ivresse), la veille du Jour de l’An (1999), 43 des 117 décès (36,5%) aux É.-U. étaient reliés à l’alcool. La veille du Jour de l’An suivant, ce nombre a atteint 75 sur 147 (51,2%). Lors du Jour de l’An de 1999, 65,7% de tous les accidents de la circulation étaient reliés à l’alcool, le pourcentage le plus élevé de toutes les fêtes cette année-là ! Le total pour l’ensemble de la fin de semaine pour cette année fut de 53,8%. Réfléchissez! Des gens sont morts à cause de la folie des autres.

Alors que les États-Unis étaient encore dans leur enfance, «plusieurs colons américains de la Nouvelle-Angleterre célébraient le Nouvel An en criant et en déchargeant leur arme dans les airs» (World Book, 2001). Malheureusement, la tradition se perpétue toujours dans certaines parties des États-Unis. En 1993,The Times-Picayune de la Nouvelle-Orléans a publié un article en première page rappelant à ses citoyens la loi de la gravité, leur mentionnant que ce qui monte (les balles) doit finalement retomber quelque part. Malheureusement, peu de gens ont suivi l’avertissement. En réalité, un des principaux éditeurs du journal, qui venait de déménager en ville a pu goûter à la tradition — un trou de balle dans son automobile toute neuve! Quelques années seulement auparavant, une femme qui célébrait dans le quartier français (le long du Mississippi) a été frappée par une balle et est morte sur le coup. Les autorités croient que cette balle a été tirée à partir de l’autre côté du fleuve.

De toute évidence, une fête aussi chaotique, violente et dangereuse ne ressemble pas au commandement que Dieu nous donne en disant «que tout se fasse avec bienséance et avec ordre.» (I Cor 14:40). Tous les vrais chrétiens savent cela et évitent les célébrations du Jour de l’An.

Les vrais chrétiens vivent selon la Parole de Dieu, non selon les traditions des hommes.

Les vrais chrétiens savent qu’ils doivent vivre de «toute parole qui sort de la bouche de Dieu» (Matth 4:4). Ils savent que l’homme ne peut par lui-même distinguer le bien du mal, le bon du mauvais. Pourquoi? Parce que «le coeur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant» (Jér 17:9) et que «la voie de l’homme n’est pas en son pouvoir; ce n’est pas à l’homme, quand il marche, à diriger ses pas.» (Jér 10:23). Les voies de Dieu sont plus élevées, meilleures que celles de l’homme (És 55:8-9). Il nous a conçus et nous a donné la vie. N’est-il pas normal qu’Il sache comment nous devons vivre?

Dieu (votre Créateur) vous (Sa création) a donné un «livre d’instruction» pour vous aider à vivre selon la façon qu’Il avait prévue pour vous (Jn 10:10). Ce «manuel», la Bible, est la Parole de Dieu et Sa vérité (Jn 17:17). Il est rempli de lois, de préceptes et de jugements basés sur une connaissance, une intelligence et une sagesse spirituelles parfaites. II Timothée 3:16-17 affirme, «Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne oeuvre». Il n’y a que la parole de Dieu qui puisse distinguer précisément le bien du mal, la justice (l’obéissance aux Commandements de Dieu – Ps 119:172) du péché (la transgression des lois de Dieu – I Jn 3:4 et Rom 7:17).

Les vrais chrétiens savent qu’en tant que seule véritable norme selon laquelle l’homme peut vivre, les Saintes Écritures ne peuvent être anéanties (Jn 10:35).

Toutefois, la majorité des gens, ce qui inclut la majorité des chrétiens traditionnels, aiment suivre les idées des hommes. C’est une chose que Christ savait et Il nous a averti en disant, «Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé sur vous, ainsi qu’il est écrit: Ce peuple m’honore des lèvres, mais son coeur est éloigné de moi. C’est en vain qu’ils m’honorent, en donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes… Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition… annulant ainsi la parole de Dieu par votre tradition, que vous avez établie» (Mc 7:6-9,13).

Dieu ordonne à Son peuple de ne pas suivre de pratiques païennes. Mais l’humanité le fait de toute façon. Il n’y a aucun endroit dans la bible qui nous commande d’observer le Nouvel An. Pas plus qu’il n’y a d’exemples bibliques positifs de véritables chrétiens qui le célèbrent. Malgré cela, la société (incluant la majorité des chrétiens traditionnels) fait des pieds de nez à Dieu en Lui affirmant «nous décidons de ce que nous devons ou ne devons pas faire»!

En ce qui concerne le Nouvel An ou la veille du Jour de l’An, pouvez-vous trouver des exemples bibliques montrant des serviteurs loyaux et justes de Dieu qui les célèbrent? Qu’en est-il de David, un homme selon le coeur de Dieu? Et d’Abraham, le père des fidèles? Et de Moïse et même de Christ?

La réponse est non! Pas plus que vous ne pouvez trouver de commandement de la part de Dieu de le célébrer. Et pourtant, cela n’empêche pas la plupart des chrétiens traditionnels de le faire. Les chrétiens doivent étudier assidûment les Écritures afin de connaître la volonté de Dieu. La mission de toute leur vie est de vivre uniquement selon la Parole de Dieu, non selon les traditions humaines, ce qui comprend les célébrations païennes du Nouvel An.

Dieu a son PROPRE calendrier, avec son propre «Nouvel An».

Lorsque Dieu ordonna à Israël d’observer la Pâque, il leur révéla aussi Son calendrier: «Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois; il sera pour vous le premier des mois de l’année» (Ex. 12:2). Le calendrier de Dieu commence au printemps, entre les mois de mars et d’avril du calendrier de ce monde. Le vingt-troisième chapitre du Lévitique nous révèle toutes les fêtes (les sabbats annuels) que les vrais chrétiens doivent observer. Elles sont dictées par le calendrier DIVIN, et non par celui de l’homme. Bien que la Bible nous dise quand débute l’année selon Son calendrier, Dieu n’ordonne pas (ni ne suggère) que ceux qui l’observent abandonnent toute maîtrise de soi pour célébrer la nouvelle année comme des animaux déchaînés.

Les véritables chrétiens connaissent les jours qu’ils doivent observer: la Pâque, les Jours des Pains sans Levain, la Fête des prémices (la Pentecôte), la Fête des Trompettes, le Jour des Expiations, la Fête des Tabernacles et le Dernier Grand Jour que l’on retrouve tous dans le calendrier sacré de Dieu. Christ les observait ainsi que tous les apôtres (Matth 26:17-19, 26-28; 28:18-20; I Cor 5:6-8).

La majorité des chrétiens traditionnels croient que ces jours particuliers n’existent que pour les Juifs. Ils préfèrent observer aveuglément des fêtes païennes instituées à l’intérieur de calendriers conçus par les hommes. Les vrais chrétiens ne s’y laissent pas prendre.

Nous sommes dans le monde de Satan; les vrais chrétiens doivent s’en retirer.

Les véritables serviteurs de Dieu se rendent compte que ce monde appartient à Satan. Il le dirige. Il le gouverne par l’intermédiaire des hommes en utilisant la tromperie à grande échelle, les mensonges, les calomnies, la corruption et l’intrigue: «Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre» (Apoc 12:9). Satan était le serpent qui a trompé Adam et Ève pour qu’ils mangent du fruit défendu, coupant ainsi leur descendance, l’humanité, du contact avec Dieu (Gen 3). Et Satan est ce même esprit méchant qui trompe et pousse les gens à commettre tout péché quel qu’il soit.

Au moment où vous lisez ceci, il y a un jeune enfant dont on abuse quelque part. Une personne est en train d’être assassinée, une autre se fait voler. Aussi longtemps que Satan gouvernera ce monde, l’homme se noiera dans ses péchés, et cela inclut les coutumes et pratiques païennes qui peuvent paraître inoffensives aux yeux des hommes, mais qui sont d’une odeur fétide aux narines de Dieu.

En parlant d’un avenir maintenant tout proche, lorsque ce monde humain influencé par Satan va s’écrouler, Dieu déclare: «Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l’impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe» (Apoc 18:2-3).

C’est à ce système satanique que Dieu fait référence lorsqu’il dit à Son peuple: «Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux» (v. 4).

Ces deux célébrations, la veille du Jour de l’An et le Jour de l’An tirent leur origine de ce monde païen influencé par Satan. Elles ont été conçues en gros pour attiser les désirs des gens, ou comme la Bible les appelle, les oeuvres de la chair: «Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicité, l’impureté, la dissolution, l’idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, l’envie, l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables» (Gal 5:19-21).

Y en a-t-il parmi celles-là qui ressemblent au Jour de l’An?

À la fin du verset 21, on peut lire: «… ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume de Dieu». Ceux qui suivent Christ se concentrent sur le royaume de Dieu (Matth 6:33) et non sur les désirs charnels de ce monde. Ils s’efforcent de se «dépouiller du vieil homme» et d’imiter l’exemple parfait et juste de Jésus-Christ. Ils savent qu’ils doivent sortir de ce monde influencé par Satan et abandonner ses pratiques, coutumes et traditions païennes qui sont contraires à la volonté divine. Cela inclut célébrer le Nouvel An.

Un jour, bientôt, Satan sera déchu de son trône et remplacé par Christ qui instaurera et dirigera le gouvernement de Dieu sur cette Terre, ce qui sera la voie vers la justice, la paix, la miséricorde et la vérité. Lorsque ce jour arrivera (et il est plus près que vous pourriez le croire), l’humanité de se laissera plus entraîner par des pratiques païennes contraires à la volonté de Dieu.

Qu’en est-il de vous? Vous connaissez maintenant la pure vérité au sujet du Jour de l’An, de ses origines païennes, de son histoire chaotique et de la façon dont Dieu considère ses coutumes, ses traditions et ses pratiques!



01/01/2015
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