LES FACETTES DU CATHOLICISME
Depuis le début de l’église de Dieu L’homme a été manipuler part le mal, trop de confusion et de désordre ce son installer l’homme a toujours voulut contrôler il a créé les religions pour mettre le désordre parmi les vrai croyant et ceux qui marche selon la vérité alors que Dieu n’est pas une dénomination et n’est pas dans la religion. La parole nous dit dans (Colossiens ch. 2 verset 8 et verset 22,23) Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ.
Préceptes qui tous deviennent pernicieux par l'abus, et qui ne sont fondés que sur les ordonnances et les doctrines des hommes ?
Ils ont, à la vérité, une apparence de sagesse, en ce qu'ils indiquent un culte volontaire, de l'humilité, et le mépris du corps, mais ils sont sans aucun mérite et contribuent à la satisfaction de la chair.
La Bible fait l'éloge des habitants de Bérée, parce qu'ils "sondaient chaque jour les Ecritures" pour vérifier si ce que Paul leur disait était exact
(Actes ch. 17 verset 10-11). Dieu veut que Ses enfants vérifient toutes choses en sondant les Ecritures.
Sait pour cette raison qu’il est toujours importent de ce fier à la bible et non à l’homme. Car toutes personne peu nous induire en erreur et peu nous faire chuter et nous pouvons louper le royaume de Dieu.
Ne faite confiance a personne si ce n’est que Jésus-Christ.
Daniel ch. 6 verset 23
Alors le roi fut très joyeux, et il ordonna qu'on fît sortir Daniel de la fosse. Daniel fut retiré de la fosse, et on ne trouva sur lui aucune blessure, parce qu'il avait eu confiance en son Dieu.
A quoi sert une image taillée, pour qu'un ouvrier la taille ? A quoi sert une image en fonte et qui enseigne le mensonge, Pour que l'ouvrier qui l'a faite place en elle sa confiance, Tandis qu'il fabrique des idoles muettes ?
Mais Christ l'est comme Fils sur sa maison ; et sa maison, c'est nous, pourvu que nous retenions jusqu'à la fin la ferme confiance et l'espérance dont nous nous glorifions.
Jésus nous a promis que les portes de l'Enfer ne prévaudraient pas contre Son Eglise. Cela exige une intervention surnaturelle de Dieu. Selon la Bible, Dieu a tenu Sa promesse en nous envoyant le Saint-Esprit, pour nous enseigner et nous guider. 2 Timothée ch. 3 verset 16 dit que l'Ecriture est le fondement de la saine doctrine, et l'instrument de notre instruction sur le chemin de la justice.
Dieu ! Il S'est révélé dans la Bible. Il nous révèle Ses voies dans la Bible. Il nous a donné la Bible pour nous instruire et nous apprendre à vivre une vie pieuse (2 Timothée ch. 3 verset 16et 17). Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre.
Les facettes et l’origine du catholicisme
L’Eglise Catholique romaine soutient que son origine remonte à la mort, la résurrection et l’ascension de Jésus-Christ autour de l’an 30 de notre ère. L’Eglise Catholique se proclame comme étant l’Eglise pour laquelle Jésus-Christ est mort, l’Eglise établie et bâtie par les Apôtres. Est-ce la vraie origine de l’Eglise Catholique ? Bien au contraire. Même une lecture superficielle du Nouveau Testament montre que l’Eglise Catholique n’a pas ses origines dans les enseignements de Jésus ou de Ses apôtres. Le Nouveau Testament ne fait aucune mention de la papauté, de l’adoration de Marie (l’assomption de Marie, ou de Marie en tant que Co-rédemptrice et médiatrice) Marie était une simple servante de Dieu comme tous serviteurs de Dieu dans la Bible pour donner naissance au Sauveur de l’humanité par le billet du Saint Esprit ,dont le nom en hébreux est : Yahushua ( Jésus-Christ de Nazareth) Il est dit dans la Bible dans le livre de Timothée au chapitre 2 verset 5 que seul Jésus-Christ et le Médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous.
Quelle est la vraie origine de l’Eglise Catholique ?
Au cours des 280 premières années de l’histoire chrétienne, le christianisme était interdit par l’empire romain, et les chrétiens étaient terriblement persécutés. Cette situation a changé après la “conversion” de l’Empereur romain Constantin. Celui-ci a “légalisé” le christianisme à l’Edit de Milan en 313 de notre ère. Plus tard, en 325, Constantin a convoqué le Concile de Nicée, dans une tentative d’unification du christianisme. Constantin percevait le christianisme comme une religion capable d’unir l’Empire romain qui commençait, à cette période, à se fragmenter et à se diviser. Bien que cela aurait semblé être une situation favorable pour l’église chrétienne, les résultats ont été tout sauf positifs. Tout comme Constantin a refusé d’embrasser totalement la foi chrétienne, mais a conservé plusieurs de ses croyances et pratiques païennes, de même l’église qu’il a promue était un mélange de la vraie chrétienté et du paganisme romain.
Constantin a jugé que l’Empire romain étant si vaste, expansif et divers que personne n’accepterait d’abandonner ses croyances religieuses pour embrasser le christianisme. Il a donc autorisé et même encouragé la “Christianisation” des croyances païennes. Des croyances complètement païennes et non bibliques se sont vues attribuer de nouvelles identités “chrétiennes”. En voici quelques exemples clairs :
(1) Le culte d’Isis, une déesse mère égyptienne, a été absorbé dans le christianisme en remplaçant Isis par Marie. Plusieurs des titres utilisés pour Isis, tels que “la Reine du Ciel,” “la Mère de Dieu” et “theotokos” (celle qui a enfanté Dieu) ont été attribués à Marie. Celle-ci a reçu un rôle exalté dans la foi chrétienne, largement au-delà de celui que la Bible lui attribue, afin d’attirer les adorateurs d’Isis vers une religion qu’ils n’auraient autrement pas embrassée. Plusieurs temples d’Isis ont été, en effet, convertis en temples dédiés à Marie. Les premiers indices clairs de la Mariologie catholique figurent dans les écrits d’Origène, qui vécut à Alexandrie en Egypte, ville qui était le point focal de l’adoration d’Isis.
(2) Le mithraïsme était une religion pratiquée dans l’Empire romain entre le 1er et le 5ème siècle de notre ère. Elle était très populaire chez les Romains, en particulier parmi les soldats romains, et était possiblement la religion de plusieurs empereurs romains. Bien que le Mithraïsme n’ait jamais eu de statut “officiel” dans l’empire romain, il a été de facto la religion officielle jusqu’à son remplacement par le christianisme, pendant le règne de Constantin et des empereurs romains suivants. L’une des principales caractéristiques du Mithraïsme était un repas sacrificiel, au cours duquel l’on mangeait la chair et buvait le sang d’un taureau. Mithra, le dieu du Mithraïsme, était “présent” dans la chair et le sang du taureau qui, lorsque consommé, donnait le salut à
ceux qui ont participé au repas sacrificiel (la théophagie, le fait de manger son dieu). Le Mithraïsme possédait également sept “sacrements,” ce qui rend les similarités entre cette religion et le Catholicisme romain trop nombreuses pour être ignorées. Constantin et ses successeurs ont trouvé un substitut facile au repas sacrificiel du Mithraïsme dans le concept de la Sainte Cène / la Communion chrétienne. Malheureusement, certains chrétiens primitifs avaient déjà commencé à associer du mysticisme à la Sainte Cène, rejetant le concept biblique de commémoration simple et respectueuse de la mort de Christ et de son sang versé. La Romanisation de la Sainte Cène est l’accomplissement de la transition vers la consommation sacrificielle de Jésus-Christ, appelée Messe catholique / Eucharistie.
(3) La plupart des empereurs (et citoyens) romains étaient hénothéistes. Un hénothéiste est une personne qui croit en l’existence de plusieurs dieux, mais en se focalisant sur un de ces dieux ou en lui donnant la suprématie sur les autres dieux. Par exemple, le dieu romain Jupiter avait la suprématie sur le panthéon des dieux romains. Les navigateurs romains étaient souvent des adorateurs de Neptune, le dieu des océans. Lorsque l’Eglise catholique a absorbé le paganisme romain, elle a simplement remplacé le panthéon des dieux par les saints. Tout comme le panthéon des dieux romains comprenait un dieu de l’amour, un dieu de la paix, un dieu de la guerre, un dieu de la force, un dieu de la sagesse, etc., l’Eglise catholique possède
aussi un saint qui “contrôle” chacun de ces éléments, et plusieurs autres catégories. Tout comme beaucoup de villes romaines avaient leur dieu personnel, l’église catholique a aussi attribué des “saints patrons” aux villes.
(4) La suprématie de l’évêque romain (la papauté) a été créée avec le soutien des empereurs romains. La ville de Rome étant le centre du gouvernement de l’empire romain, et étant donné que les empereurs romains résidaient à Rome, cette ville s’est hissée au premier rang dans toutes les facettes de la vie. Constantin et ses successeurs soutenaient l’évêque de Rome en tant que dirigeant suprême de l’église. Bien évidemment, il était mieux, pour l’unité de l’empire romain, que le gouvernement et la religion d’Etat soient basés dans le même endroit. Bien que la plupart des autres évêques (et chrétiens) aient résisté à l’idée de suprématie de l’évêque de Rome, celui-ci a fini par atteindre la suprématie, grâce au pouvoir et à l’influence des empereurs romains. Après la chute de l’empire romain, les papes ont récupéré le titre qui appartenait auparavant aux empereurs romains – Pontificus Maximus.
Les créateurs et les fondateurs des cathédrales : Franc-maçonnerie
(Système politique et religieux)
On appelle franc-maçonnerie un ensemble de phénomènes historiques et sociaux très divers formant un espace de sociabilité[1] qui recrute ses membres par cooptation[2] et pratique des rites initiatiques faisant référence à un secret maçonnique et à l'art de bâtir.
Difficilement traçable historiquement, elle semble apparaître en 1598 en Écosse[3] (Statuts Schaw), puis en Angleterre au XVIIe siècle. Elle se décrit, suivant les époques, les pays et les formes, comme une « association essentiellement philosophique et philanthropique », comme un « système de morale illustré par des symboles » ou comme un « ordre initiatique ». Organisée en obédiences depuis 1717 à Londres, la franc-maçonnerie dite spéculative – c'est-à-dire philosophique – fait référence aux Anciens Devoirs de la maçonnerie dite opérative formée par les corporations de bâtisseurs qui édifièrent, entre autres, les cathédrales[4].
Benoît XVI et Nicolas Sarkozy se rencontrait ce vendredi au Vatican. Le président français se rapproche de ses électeurs catholiques
Jean ch. 18 verset 36
Mon royaume n'est pas de ce monde, répondit Jésus. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs ; mais maintenant mon royaume n'est point d'ici-bas.
Quel que exemple concret, à vous de vous pose les bonnes questions !
Jésus demande t'il la quête après avoir prêché sa bonne parole!!!
Matthieu ch. 10 verset 8 Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les
lépreux, chassez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.
DIEU veux-t-il de l'or et de la richesse dans son église???
Au jour de la colère, la richesse ne sert à rien ; Mais la justice délivre de la mort.
Car la richesse ne dure pas toujours, Ni une couronne éternellement.….
L'hostie est ronde en fait la sphéricité de l'hostie, tire son origine du culte païen Égyptien du dieu mitra, osis , Osiris le dieu-soleil Égyptien.
La sainte cène qui est suivi par les systèmes religieux n'est pas biblique.
La majorité des églises sont nées dans le système religieux, ils n'ont fait que reproduire ce que le catholicisme romain avait mis en place. Au quatrième siècle après Jésus les termes repas du Seigneur, et la communion fraternelle, on était remplacés par l'eucharistie, l’hostie précisément. Donc chaque dimanche beaucoup de chrétiens mange le corps du Seigneur, et boivent son sang pour être sauvé soi-disant ses complétements religieux, et donc non biblique.
Mon attitude envers Marie
Pourquoi avez-vous changé d'attitude envers Marie,
la mère de Jésus ?
la Bible ne dit pas grand-chose sur Marie. Les dernières paroles qui sont rapportées d'elles sont le sage conseil qu'elle a donné aux serviteurs, lors de la noce de Cana: "Faites tout ce qu'il vous dira". La dernière mention de Marie dans la Bible se trouve dans Actes 2: elle priait dans la chambre haute avec les disciples, avant la venue du Saint-Esprit. Galates 4:4 la mentionne encore brièvement, sans la nommer: "Lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme".
Par la grâce de Dieu, Marie a reçu l'unique privilège de devenir la mère du Seigneur Jésus-Christ. Aucune autre personne n'a eu, et n'a pu avoir, le même privilège. Toutefois, nous ne devons pas attribuer à Marie un rôle que Dieu ne lui a pas donné. Elle n'est pas le sauveur. Seul Jésus est le Sauveur. Elle n'est pas notre médiatrice. Jésus est le seul médiateur (veuillez lire 1 Timothée 2:5).
J'avais l'habitude d'invoquer le nom de Jésus et celui de Marie pour mon salut, jusqu'à ce que je lise ce que l'apôtre Pierre a écrit concernant Christ: "Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés" (Actes 4:12).
A présent, j'invoque le nom de Jésus seul pour mon salut. Car Il est Dieu venu dans une chair semblable à la nôtre, pour mourir
pour les péchés de Son peuple. En agissant ainsi, je respecte Marie bien plus que je ne le faisais quand j'étais Catholique. Car, à présent, je suis son exemple, et j'accomplis le plus grand désir de son cœur: "Et Marie dit: Mon âme exalte le Seigneur, et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur" (Luc 1:46-47).
Son désir était de ne pas s'exalter elle-même. Pourtant, beaucoup de gens l'ont exaltée depuis des siècles, contrairement à son désir explicite: "Mon âme exalte le Seigneur".
En outre, Marie nous enseigne, à propos du salut, à nous confier en Dieu seul, car elle ne s'est pas confiée en elle-même, ni en quelque autre saint. Elle s'est confiée en Dieu seul. Elle a dit: "Mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur".
Si vous respectez Marie, et je sais que vous le faites, exaltez le Seigneur comme elle l'a fait ; confiez-vous en Dieu pour votre salut, comme elle l'a fait.
Qui peut-on appeler Père ?
Et n'appelez personne sur la terre votre père; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux" (Matthieu 23:9). Que pensez-vous de ce verset ? (Question posée par un Chrétien Evangélique).
"Les prêtres sont appelés "pères" parce que, en un sens, ce sont les pères spirituels des Catholiques baptisés, comme Paul l'était pour les Corinthiens (1 Cor. 4:15). (Remarque faite par un Catholique).
Réponse: Dans Matthieu 23, Jésus met en garde Ses disciples, et surtout les anciens de Son Eglise, contre l'orgueil. Jésus a dit:
"Mais vous, ne vous faites pas appeler Rabbi ; car un seul est votre Maître, et vous êtes tous frères. Et n'appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux. Ne vous faites pas appeler directeurs ; car un seul est votre Directeur, le Christ. Le plus grand parmi vous sera votre serviteur. Quiconque s'élèvera sera abaissé, et quiconque s'abaissera sera élevé" (Matthieu 23:8-12).
Il est clair que Jésus ne nous interdit pas d'appeler "père" notre père physique. Le contexte de Son message ne concerne pas les relations familiales. Jésus ne nous interdit pas non plus, d'une manière absolue, d'appeler quelqu'un de ce terme, comme nous le voyons pratique ailleurs dans la Bible.
Ceci étant dit, nous ne devons certainement pas ignorer l'avertissement du Seigneur, car les anciens et les conducteurs de l'Eglise peuvent s'enorgueillir des titres qu'on leur confère, comme "Rabbi", "Père", ou "Maître". Cette tentation n'est certainement pas limitée au clergé de l'Eglise Catholique. Les "Révérends" des églises Protestantes feraient bien de ne pas oublier que nous ne devons révérer que notre Dieu et Rédempteur: "Vous observerez mes sabbats, et vous révérerez mon sanctuaire. Je suis l'Eternel" (Lévitique 26:2).
Sans tenir compte des paroles de Jésus, l'Eglise Catholique donne le titre de "Père" à tous ses prêtres, et celui de "Saint Père" au Pape. Dans la Bible, ce titre n'est employé qu'une seule fois, en référence à Dieu (Jean 17:11). "Saint" est un titre qui est réservé à Dieu seul: "Qui ne craindrait, Seigneur, et ne glorifierait ton nom? Car seul tu es saint" (Apocalypse 15:4).
On invoque à tort 1 Corinthiens 4:15 pour justifier la tradition d'appeler un prêtre Catholique "Père". Dans ce verset, l'apôtre Paul rappelle aux Chrétiens de Corinthe que c'est lui qui les a engendrés à la vie éternelle en leur prêchant l'Evangile: "Car, quand vous auriez dix mille maîtres en Christ, vous n'avez cependant pas plusieurs pères, puisque c'est moi qui vous ai engendrés en Jésus-Christ par l'Evangile". C'est en ce sens seulement que Paul est leur père.
Notez aussi que Paul précise clairement que ces Chrétiens n'ont qu'un seul "père": "Vous n'avez cependant pas plusieurs pères". Il était leur seul père spirituel, parce qu'il était directement responsable de leur nouvelle naissance, et il était le seul à l'être. Alors que le titre de "Père" donné aux prêtres de l'Eglise Catholique n'a pas du tout la même signification, car ils sont censés être les "pères" de tous les Catholiques.
Il est également important de noter que Paul n'attribue pas la naissance spirituelle des Corinthiens à leur baptême, contrairement aux prêtres Catholiques. "C'est moi qui vous ai engendrés en Jésus-Christ par l'Evangile". C'est en leur prêchant l'Evangile qu'il les a conduits à la nouvelle naissance. Dans la même épître, Paul leur rappelle aussi qu'il n'avait baptisé aucun d'eux, à part quelques exceptions, car Christ ne l'a pas envoyé pour baptiser, mais pour prêcher l'Evangile (1 Cor. 1:14-17).
Peut-être êtes-vous un prêtre Catholique. J'espère, et je prie, que le Seigneur utilisera Sa Parole pour vous accorder la repentance pour votre orgueil: "Et n'appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux".
Voilà toute personne qui veut suivre la voie de Dieu se doit de le respecté et suivre ce qu’il nous demande. Ne fait confiance à personne si ce n’est Dieu et à sa parole. Et Dieu ne force personne nous avons tous à un moment de notre vie là chance que Dieu nous offre qui est de le suivre, il nous laisse à tout le libre arbitre et le choix.
Deutéronome Ch. 30 verset 15 a 20
Vois, je mets aujourd'hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal. Car je te prescris aujourd'hui d'aimer l'Éternel, ton Dieu, de marcher dans ses voies, et d'observer ses commandements, ses lois et ses ordonnances, afin que tu vives et que tu multiplies, et que l'Éternel, ton Dieu, te bénisse dans le pays dont tu vas entrer en possession. Mais si ton cœur se détourne, si tu n'obéis point, et si tu te laisses entraîner à te prosterner devant d'autres dieux et à les servir ,je vous déclare aujourd'hui que vous périrez, que vous ne prolongerez point vos jours dans le pays dont vous allez entrer en possession, après avoir passé le Jourdain.
J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité, pour aimer l'Éternel, ton Dieu, pour obéir à sa voix, et pour t'attacher à lui : car de cela dépendent ta vie et la prolongation de tes jours, et c'est ainsi que tu pourras demeurer dans le pays que l'Éternel a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob.
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